Parutions
Théophile Gautier par Maxime Du Camp, suivi de Théophile Gautier Souvenirs intimes par Ernest Feydeau
ENTRE BIOGRAPHIE, HAGIOGRAPHIE ET DISCOURS ESTHETIQUE
Tout en s’employant à dresser un piédestal à leur ami Théophile Gautier, les écrivains mineurs Maxime Du Camp et Ernest Feydeau, élaborent une écriture mémorielle, celle des évolutions littéraires entre 1830 et 1872, le Romantisme, le Parnasse. . . ils s’efforcent de raviver les grands débats esthétiques auxquels Théophile Gautier a contribué largement, de rappeler les influences et enjeux de pouvoir autour des cercles littéraires et des chefs d’école, des écrivains majeurs. Et ce faisant, interrogent leur propre
(...)Trois essais sur la décadence. MORICE, Charles – SYMONS, Arthur – BAHR, Hermann
Ce volume propose trois essais strictement contemporains (1886, 1893, 1894) émanant de trois auteurs : le Français Charles Morice, l’Anglais Arthur Symons, l’Allemand Hermann Bahr, dans leur effort pour définir la notion de Décadence et présentant entre eux de frappantes analogies.
112 pages
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La matière arthurienne tardive en Europe (1270-1530)
Fruit de la collaboration d’une équipe internationale de 73 chercheurs, ce livre met en lumière la diversité des formes que prend la mode arthurienne à la croisée du Moyen Âge et de la Renaissance. Il montre comment cette matière a contribué à constituer en Europe un imaginaire commun, bien au-delà de l’aristocratie. La production arthurienne des diverses aires (italienne, ibérique, germanique, anglaise, écossaise, irlandaise, galloise, scandinave, sans oublier les témoins en biélorusse, grec, tchèque, néerlandais ou latin) est analysée afin de mettre en évidence les ry
La fortune de Jean de Meun dans les lettres françaises
Prolongeant Jean de Meun et la culture médiévale précédemment publié aux Presses universitaires de Rennes, cet ouvrage s’intéresse à la postérité de Jean de Meun sous toutes ses formes, du manuscrit à l’imprimé, du Roman de la Rose aux innombrables textes qui ont continué jusqu’au début du XVIIe siècle d’y puiser l’inspiration. Jean de Meun conserve une place à part dans les arts poétiques en raison de la force de son « invention » et plus généralement dans l’esprit des poètes, d’Alain Chartier à Pierre de Ronsard, en passant par Martin le Franc, Jean Bouchet, Cléme