Parutions

Le Primitivisme littéraire

Le Primitivisme des avant-gardes littéraires

Directeurs d’ouvrage : Le Quellec Cottier (Christine), Rodriguez (Antonio)

Y a-t-il un primitivisme littéraire, comme en peinture ou en musique ? L’attrait des avant-gardes pour les objets médiévaux, populaires, non occidentaux ou pour la création des marginaux se déploie aussi à l’écrit, et produit des gestes primitivistes en littérature tout au long du xxe siècle.

Nombre de pages : 302

Ouvrage publié avec le concours du Fonds national suisse de la recherche scientifique

Classiques Garnier. Série : Littérature des xxe et xxie siècles, n° 46

Le cont

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Revue de Littérature Comparée, 2/2023 : Quelle éthique pour la littérature environnementale ?

Parution du numéro 2 / 2023 de la Revue de Littérature Comparée : Quelle éthique pour la littérature environnementale ?, coordonné  par Anne Teulade, Gaëlle Debeaux, Audrey Giboux et Charline Pluvinet

Sommaire :

Avant-propos, par Anne Teulade
Anne-Rachel Hermetet, On ne fait pas de bonne (éco)littérature avec de bons sentiments
Lucie Taïeb, Un récit sans morale : de certaines vertus de la littérature face à la question environnementale des déchets
Nicolas Correard, Zootopies littéraires : mises en scène d’une domination renversée (XVIIe-XVIIIe siècles)
Jean-Paul Engélibert, Comment faire monde

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Le Baiser – n°10 de la Revue d’études culturelles

Revue d’Études Culturelles

N°10 – Automne 2023

Le Baiser

« Arrêtez les embrassades ! » La violence de cet interdit édicté pendant la pandémie de COVID 19 en 2020 nous a rappelé combien comptait cette pratique, sociale, amicale, érotique, à la fois dans notre vie quotidienne et dans notre imaginaire. D’où la volonté d’interroger à nouveau frais la place qu’occupent les baisers dans la culture contemporaine : car si des études importantes ont articulé la création littéraire avec une sociologie ou une anthropologie du baiser, il restait à déplacer le regard vers l’es

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Figures de marginaux dans le roman historique européen (1814-1836)

Gueux, vagabonds, Bohémiens et Bohémiennes, brigands de grand chemin, sorcières et astrologues, mendiants, usuriers juifs, faux ermites… voici quelques-unes des figures qui hantent les pages des romans historiques européens (Royaume-Uni, France, États allemands, États italiens) des premières décennies du XIXe siècle. Si ces marginaux et autres gibiers de potence s’inscrivent, à première vue, à contre-courant de l’histoire nationale qui y est racontée, ils y ouvrent un espace d’incertitude où les normes sont remises en question : celles de la représentation littéraire de l’his

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François Cheng, « La vie en devenir »

Six chapitres proposent une lecture de la poésie, des trois romans et des essais de François Cheng.

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