Parutions
Revue Otrante – n°55 – Sang, sens et sensorialité
Ce numéro de revue aborde le sang sous de nouveaux angles, en privilégiant, non un traitement purement symbolique, mais l’étude de ses caractéristiques sensibles et la manière dont il participe à la production d’œuvres artistiques et de fictions dans le champ des arts (cinéma, littérature, bande dessinée, arts plastiques) dans la période allant du XIXe au XXIe siècles. Les études sensorielles s’appuient sur la connaissance du contexte historique, des savoirs scientifiques, philosophiques et médicaux pour appréhender les représentations et donner sens aux partis pris esthétiques des œu
(...)Thinking Africa with V.-Y. Mudimbe
Parution du numéro 16 de la revue Atlantide
Parution du numéro 16 de la revue Atlantide
Échanges intellectuels, dynamiques transnationales, France/Italie, 1945-1980
sous la direction de Vittoriano Gallico & Jessy Simonini
Le présent volume se propose d’étudier les influences mutuelles, les intersections et les projets communs intervenant dans le processus de création entre domaine italien et domaine français. Les contributions qui y figurent ont toutes pour vocation de découvrir, dans une optique transnationale, des aspects peu connus des relations, par ailleurs très productives, entre auteurs issus de différents contextes et
(...)Portrait d’Umberto Eco en jeune homme
Dans Portrait d’Umberto Eco en jeune homme 1932-1962, André Peyronie évoque, sous le signe de Joyce, les années d’apprentissage d’Umberto Eco sous le fascisme, pendant la guerre et dans l’immédiat après-guerre : enfance, adolescence et jeunesse jusqu’à l’année de ses trente ans. C’est un essai de « biographie prospective » où le présent s’éclaire par des projections dans le futur, et la réalité du moment par l’œuvre à venir. Si l’enfant est bien le père de l’homme, le constant va-et-vient d’un temps à l’autre tend à saisir un devenir, et à constit
(...)Oser la communauté. De l’éthique en démocratie abimée
Il est clair aujourd’hui qu’on n’ajoutera rien à ce monde. Et qu’il nous faut même au contraire le plus rapidement possible retrancher. En effet, le mode de développement qui a conduit jusqu’à nous n’est pas viable, et si des millions d’hommes sur la planète – nous dit-on – l’envient encore, il est évident désormais qu’on ne doit le souhaiter à personne, et ce pour le bien de tous.
Nous devons retrancher et dans le même temps nous avons une obligation absolue d’invention. C’est le paradoxe : nous sommes contraints d’inventer d’une manière absolument inverse à ce que nous avons toujo
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