Parutions
La critique d’art à l’écran. Les arts plastiques
Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution du volume “La critique d’art à l’écran – Les arts plastiques”, dir. S. Dreyer et D. Vaugeois, Presses du Septentrion, 2018.
Le film est-il à même de renouveler le rapport traditionnel de la littérature aux arts plastiques ? Est-il capable, surtout, de tenir un discours critique spécifique sur les œuvres, l’histoire de l’art ou l’esthétique?
Auteurs: Lambert BARTHELEMY, AurianeBEL, Pascale BORREL, Marie-Laure DELAPORTE, Sylvain DREYER, Caroline FINEZ, Agnès FOIRET, Fabien GRIS, Vanessa LOUBET-POËTTE, Sarah PIALEPRAT, Emmanuel PLASSERAUD, Pasc
(...)Des filles sans joie. Le roman de la prostituée dans la seconde moitié du XIXe siècle.
Au moment où la prostitution semble exploser dans les villes, la fille des rues envahit la littérature de la seconde moitié du XIXe siècle. Héroïne nouvelle, elle acquiert bien vite le premier rôle de ce qui devient un sous-genre romanesque à part entière, doté d’une structure et de motifs privilégiés. Pour appréhender le fonctionnement et les significations multiples que ce personnage revêt dans le « roman de fille », cette étude comparée d’œuvres françaises, espagnoles et russe s’ouvre sur les discours médicaux, moraux et sociaux du temps sur la femme et la prostit
(...)Les Anthologies de littérature(s) étrangère(s)
Le Comparatisme comme approche critique
Présentation de l’éditeur :
Sélection des actes du vingtième congrès de l’Association internationale de littérature comparée, cet ensemble de volumes engage une réflexion sur les bases d’une critique littéraire comparatiste et sur les relations entre le comparatisme en littérature et dans les autres domaines du savoir et des arts.
4e de couverture:
Dans un monde où le comparatisme est partout mais la littérature comparée institutionnellement de plus en plus menacée là où elle s’est historiquement développée, en Occident, tandis qu’elle semble au contraire se développer en Asie, da
(...)Anticipations littéraires du terrorisme
Michel Arouimi, Anticipations littéraire du terrorisme, Paris : Hermann, 2018, 256 p.
Le génie de quelques grands écrivains est d’avoir cerné, bien avant René Girard, les causes de la violence humaine. Hermann Melville (dans une nouvelle comme Un heureux échec) et Rimbaud, mais encore Joseph Conrad, disciple des deux premiers (et notamment dans L’Agent secret) se sont attachés aux aspects politiques de ce problème dans leurs œuvres. De même chez Tchékhov et son ‘imitateur’ Henri Troyat, qui a repris le canevas interrompu de La Steppe de Tchékhov dans les nombreux volumes de sa saga romanes
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