Parutions
Littérature de jeunesse et Europe romantique
Le 8e volume des Cahiers d’études nodiéristes, publié aux éditions Classiques Garnier sous la direction de Caroline Raulet-Marcel et Virginie Tellier, interroge la dimension européenne de la littérature de jeunesse de la première moitié du XIXe siècle, dans une perspective comparatiste. Les sections sont les suivantes :
- Des Lumières vers le romantisme. Écrire et éditer pour la jeunesse en Europe
- Femmes auteurs, éducatrices ou écrivains pour les enfants ?
- Casse-noisette : un patrimoine européen
- Les Contes des frères Grimm en France
L’ouverture finale s’intéresse au devenir contemporain des c
(...)Littératures francophones et théorie postcoloniale. 4ème éd., revue et actualisée
Cher.es collègues,
J’ai le plaisir de vous annoncer la parution de la nouvelle édition de mon ouvrage .
J.M. Moura
Le Théâtre réinventé
Dans l’Europe de la première modernité, le théâtre suscite une forte hostilité qui puise aux sources antiques. Mais ses défenseurs entendent moins défendre que conquérir, réinventer le théâtre pour le constituer en activité autonome et spécifique, lui donner une place légitime dans l’espace social et politique. Ce livre invite ainsi à redécouvrir la capacité d’émancipation du théâtre et son pouvoir d’action et, avec Shakespeare et Cervantès, Molière et Corneille, comprendre l’expérience théâtrale qui est toujours la nôtre.
Roman et secret Essai sur la lecture à l’époque moderne (xvie-xviiie siècles)
Pourquoi les lecteurs ont-ils abandonné la lecture d’Amadis de Gaule, L’Astréeou Clélie alors qu’ils sont attachés aux romans de Cervantès, Madame de Lafayette, Prévost ou Diderot ? Cet ouvrage répond à cette question en adoptant le point de vue des lecteurs passionnés pour les secrets des fictions romanesques.
- Nombre de pages: 436
- ISBN: 978-2-406-06826-6
- ISSN: 2103-480X
- DOI: 10.15122/isbn.978-2-406-06828-0
- Collection / Revue: Perspectives comparatistes, n° 60
- Série: Classique/Moderne, n° 5
Chacun son Horace
La réception des auteurs classiques est toujours multiple. Elle donne lieu à des lectures diversifiées et à des usages éditoriaux distincts. Cette pluralité des lectures vaut peut-être plus encore pour Horace. C’est qu’à la différence de Virgile qui n’était pas théoricien ou d’Aristote qui n’était pas poète, Horace offre à la fois une théorie et une pratique, et celles-ci cultivent l’ambiguïté, sinon la contradiction. C’est aussi sans doute qu’Horace est sensible, comme poète et comme théoricien, à la variété, à la différence et au droit de l’appropria
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