Actes & Volumes collectifs
Littératures en partage
Migrations des genres et des formes littéraires et artistiques
Actes du XLIe Congrès de la Société française de littérature générale et comparée, pour la "Bibliothèque comparatiste".
Congrès organisé par la section de littérature comparée de l'Université Toulouse Jean-Jaurès et le laboratoire LLA-Créatis.
Actes édités par la section de littérature comparée de l'Université Toulouse Jean-Jaurès.
Mise en forme et mise en ligne avec l'aide de Simon de Smet.
Nouveaux mondes, nouveaux romans?
Actes du XLe Congrès de la Société française de littérature générale et comparée, pour la “Bibliothèque comparatiste”.
Congrès organisé par la section de Littérature comparée de l'Université de Picardie-Jules Verne. CERCLL - UPJV, 26 – 28 novembre 2015.
Actes édités par Louise Dehondt, Anne Duprat, Irène Gayraud, Catherine Grall et Christian Michel.
Mise en forme et mise en ligne par Grzegorz Pawlak.
Pour une cartographie européenne des revues littéraires (1909-1939) : réseaux, échanges, carrefours
Du 2 au 4 juin 2009 s’est tenue à Angers une université d’été de la Société française de littérature générale et comparée (SFLGC) . Couplées à un colloque international organisé par le CERIEC (Centre d’Études et de Recherche sur Imaginaire, Écritures et Cultures, université d’Angers) et le 3.LAM (Université du Maine), ces journées ont réuni une vingtaine d’enseignants-chercheurs et de doctorants de toute l’Europe pour réfléchir aux formes qu’ont pu prendre les relations entre diverses revues littéraires européennes entre 1909 et 1939. Venus d’Allemagne, (...)
Traduction et partages
Traduction et partages : que pensons-nous devoir transmettre ?
Ève de Dampierre, Anne-Laure Metzger, Vérane Partensky et Isabelle Poulin (éd.) Université Bordeaux MontaigneOuvrage issu du XXXVIIe Congrès de la SFLGC
L’objectif du Congrès de la SFLGC (Université Bordeaux Montaigne, 27-29 octobre 2011) à l’origine du présent ouvrage était d’interroger les enjeux des Translation Studies (études de traduction), dans la perspective qu’avait initiée Auerbach : « Il est certain que notre patrie philologique est la terre : ce ne peut plus être la nation. » En Franc (...)