Chargé d’enseignement

Université Haute Bretagne / Rennes II, UFR Multilangues, Département de Grec moderne

Campus Villejean, Pl. du Recteur Henri Le Moal, 35043 RENNES Cedex

Doctorant en Littérature comparée “ Engagement et création romanesque. Le discours littéraire de la gauche grecque pendant l’entre-deux-guerres et les sources françaises (1920-1936) ” (Université Paris X ­ Nanterre)

adresse personnelle :

37, rue de Ménilmontant, 75020 Paris
Tél : 01 47 97 55 77

courriel : vironk@noos.fr

Domaines et thèmes de recherche

– Littérature et politique : mouvement ouvrier et échanges littéraires et culturels internationaux (sources, traductions, conditions de circulation et de réception des textes..).

– Littérature et engagement : crises sociales, transitions politiques et écritures romanesques comparées (domaines grec et latino-américains : Argentine, Chili, Cuba, Nicaragua…).

– Ecriture militante ; les récits de voyage : actes d’engagement, (re)production/réfutation d’idéologies politiques et/ou de stéréotypes culturels, statut politique et/ou littéraire.

– La diaspora grecque en Amérique latine : culture et identité ; relations culturelles greco-chiliennes.

Travaux (articles, communications…)

– “ L’Histoire de la littérature néohellenique : au mitan du littéraire et du politique ”, Journée d’Etudes “ Littérature et Politique ”, Université de Paris X, Nanterre, mai 2004.

– “ Le corps de l’ouvrier : représentations allégoriques, usages symboliques et fonctions idéologiques dans la littérature prolétarienne grecque de l’entre-deux-guerres. ”, communication au 18e Congrès International des Néohellénistes, Université Paris X, Nanterre, (mai 2003), à paraître

– “ Un coup de rouge, entre faucille et marteau : notes et références autour du mouvement littéraire de la gauche grecque face à la taverne et à la marginalité au tournant des années ’20 ”, communication au Colloque International des Néohellénistes, Université de Bourgogne, Dijon, 2002, (publié in La vigne et le vin dans la langue et la littérature néo-helléniques, textes réunis par Martine Breuillot, Paris, Colloques Langues’O/INALCO, 2003)

– “ La littérature prolétarienne en Grèce ”, communication à l’Institut CGT d’Histoire Sociale, dans le cadre du cycle Le roman social, représentations littéraires, histoire et mouvement ouvrier (2001), (Paris, Editions de l’Atelier, 2003)

– Participation à la seconde journée d’études pluridisciplinaires “ Repenser le réalisme socialiste ”, Centre d’Histoire et de Sociologie des Gauches, Institut de Sociologie, Université Libre de Bruxelles, (mai 2001).
En préparation

– “ Nouvelles prolétariennes et/ou écriture de la marginalité ? Hamena kormia (corps à la dérive) (1924) et Toubeki… (Ferme-la…) (1928) de Petros Pikros (Grèce), Tinieblas (Ténèbres) (1923) et Vidas proletarias (1934) de Elias Castelnuovo (Argentine) ”,

– “ De Monde (Paris) à Nei Protopori (Athènes) : le débat français sur la littérature prolétarienne et la crise du champ littéraire néo-hellénique (1928-1936) ”, “ La critique grecque et l’œuvre de Pablo Neruda : réception littéraire et politique ”

– “ Aspects socioculturels de la Grèce contemporaine. Notes et bibliographie ”, manuel à usage des étudiants des première et deuxième années des cours optionnels sur la Grèce contemporaine (culture, politique et société)

Langues : grec, espagnol

Membre de la Société d’Etudes Néohelleniques (SEN) et du Centre de Recherche en Littérature comparée “ Littérature et Idée ” (Université Paris X-Nanterre)