Agrégation

Nâzim Hikmet

ARTICLE

Ouvrages et articles généraux :
Histoire de la Turquie :

Alessio Bombaci, Histoire de la littérature turque, Paris, Klincksieck, 1968.

Robert Mantran, Histoire de la Turquie, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 1952, nouv. éd., 1961, 1968, 1983, 1988 et 1993.

Robert Mantran, Histoire de l'empire ottoman, Paris, Fayard, 1989.

L’épopée en Turquie :

Pertev Naili Boratav, « Le conte et la narration épico-romanesque », dans Turcica Revue d’études turques I, 1969, pp.95-122.

Pertev Naili Boratav, « La littérature populaire turque contemporaine », dans Turcica Revue d’études turques V, Paris, EHESS, 1975, pp.47-67.

Pertev Naili Boratav, « La guerre de libération et Atatürk dans la tradition populaire », dans Turcica. Revue d’études turques XIX, Paris, EHESS, 1982, pp. 268-286.

Nedim Gürsel, « L'épopée de Köroglu et Yachar Kemal », Turcica Revue d’études turques XXI-XXIII, Paris, EHESS, 1991 pp. 271-284.

Ouvrages de référence sur Nâzım Hikmet :

Dietrich Gronau, Nâzım Hikmet. Eine Biografie, Reinbeck/Hambourg, Rowohlt Taschenbuch, 1991.

Saime Gökdu et Edward Timms, Romantic Communist. The Life and Work of Nâzım Hikmet, Londres, C. Hurst & Company, 1999.

 Études :

Nedim Gürsel, « NâzımHikmet, poète moderne ou populaire? », Cahiers d'études balkaniques n°5,  1983, pp.135-154.

Nedim Gürsel, Nâzım Hikmet et la littérature populaire turque, Préface de Louis Bazin, Paris, L’Harmattan, 1987 (notamment : « Portraits de paysans dans ‘Paysages humains’ », pp.32-50 ; « Un drôle de poème », pp. 52-67 ; « Le cheik Bedreddîn et son épopée », pp.108-172).

Berkan Karpat et Dunja Bialas, « Nâzım Hikmet — Dichter einer säkularen Mystik », Sirene n°19, München, 1997, pp. 119-123.

Nedim Gürsel, Le chant des hommes (essais sur la poésie de Nâzım Hikmet), Paris, Le Temps des Cerises, 2002.

Marian Aguiar, « NâzımHikmet’s modernism of development.(Critical essay) », Journal of Modern Literature, Volume 30, N° 4, Summer 2007, Indiana University Press (http://muse.jhu.edu/login?uri=/journals/journal_of_modern_literature/v030/30.4aguiar.pdf).

Préfaces :

Abidine Dino, « Préface », dans Nâzım Hikmet, De l’espoir à vous faire pleurer de rage (Lettres de prison à Kemal Tahir), Traduit du Turc par Munevver Andaç, Paris, Parangon, 2002, pp. 5-9 (N.B. : ces lettres de prison sont très utiles pour comprendre la genèse de Paysages humains).

Charles Dobzynski, « Nâzım Hikmet ou La totalité de la lumière », dans C’est un dur métier que l’exil (anthologie établie et présentée par Charles Dobzynski, Paris, Le Temps des Cerises, 2009, pp. 7-16).

Ouvrages collectifs :

Ehran Turgut (éd.), Nâzım Hikmet. Biographie et poèmes (« Vivre comme un arbre, seul et libre / Vivre en frères comme les arbres d’une forêt »), édition trilingue (Français, Anglais, Turc), Paris, Éditions Turquoise, 2002 .
(notamment : Saime Gökdu et Edward Timms, « Biographie », pp.30-89 ; Hasan Gureh, « Un tournant dans la poésie turque », pp. 196-197 ; Jacques Lacarrière, « Autour de cinq poèmes », pp. 212-221 ; Mehmet H. Dogan, « Le poète de son époque », pp.222-229 ; Charles Dobzynski, « Une poétique de la limpidité », pp.230-233 ; Güzin Dino, « Une poétique politique », pp. 234-239).

Monika Carbe et Wolfgang Riemann (éds.), Hundert Jahre Nâzım Hikmet, Zurich, George Olms Verlag, 2002, pp. 95-118.
(notamment : Monika Carbe, « Der Dichter der Menschenlandschaften », pp. 6-14 ; Barbara Frischmuth, « Das Epos von Scheich Bedreddin » Nedim Gürsel, pp. 58-66 ; Nedim Gürsel « Die bäuerlichen Gestalten in Nazim Hikmet »,, pp. 95-117).

Revues :

Anka, « Nâzım Hikmet trente ans après »,  n° 20-21,  Paris, 1993 s. (notamment : Ataol Behramoglu, « Les Sources d’inspiration de Nâzım Hikmet : Les Modèles indigènes et étrangers », pp. 37-46).

Europe, n° 547-548, « Nâzım Hikmet », novembre-décembre 1974.

Europe, n° 655-656, « Littérature de Turquie », novembre-décembre 1983.

Europe, n° 878-879, « Nâzım  Hikmet », juin-juillet 2002 (notamment : Enis Batur, « Le train de Nâzım Hikmet », pp. 80-86 ; Nedim Gürsel, « Les mots de ma langue ressemblent à des pierres précieuses », pp. 92-103).