parution
Parution : Judith Sarfati Lanter, Donner forme au sensible. La perception dans l’œuvre de Peter Handke, Malcolm Lowry et Claude Simon
Auteur : Judith Sarfati Lanter
Langue : fr
Éditeur : Honoré Champion
Judith Sarfati Lanter, Donner forme au sensible. La perception dans l’œuvre de Peter Handke, Malcolm Lowry et Claude Simon, Honoré Champion, collection "Bibliothèque de littérature générale et comparée, 110", 2013. EAN13 : 9782745325167. 632 pages. Broché110 EUR.
Présentation de l'éditeur :
Question centrale dans l’œuvre de Peter Handke, Malcolm Lowry et Claude Simon, la perception manifeste, dans la manière dont elle travaille et infléchit l’écriture, un mode particulier d’être-au-monde, entendu non seulement comme lien phénoménologique au sensible mais aussi comme ajustement singulier à un univers collectif. La manière dont la conscience reçoit les phénomènes, se les représente et tente de leur donner forme par le raisonnement et le travail de l’imaginaire, pose en effet le problème de leur interprétation et d’un possible partage du sensible. L’étude de la perception, en interrogeant l’articulation entre la poétique, l’esthétique et la politique, cherche à mettre au jour quelques-unes des configurations majeures de la littérature de la seconde moitié du XXe siècle, en prenant au sérieux la contribution qu’elle apporte à la pensée et à la représentation d’un monde commun.
Judith Sarfati Lanter est ancienne élève de l’ENS, agrégée des Lettres modernes et docteur de l’Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3.
Pour consulter [la table des matières->http://www.fabula.org/actualites/judith-sarfati-lanter-donner-forme-au-sensible-la-perception-dans-l-oeuvre-de-peter-handke-malcolm_56929.php]
Présentation de l'éditeur :
Question centrale dans l’œuvre de Peter Handke, Malcolm Lowry et Claude Simon, la perception manifeste, dans la manière dont elle travaille et infléchit l’écriture, un mode particulier d’être-au-monde, entendu non seulement comme lien phénoménologique au sensible mais aussi comme ajustement singulier à un univers collectif. La manière dont la conscience reçoit les phénomènes, se les représente et tente de leur donner forme par le raisonnement et le travail de l’imaginaire, pose en effet le problème de leur interprétation et d’un possible partage du sensible. L’étude de la perception, en interrogeant l’articulation entre la poétique, l’esthétique et la politique, cherche à mettre au jour quelques-unes des configurations majeures de la littérature de la seconde moitié du XXe siècle, en prenant au sérieux la contribution qu’elle apporte à la pensée et à la représentation d’un monde commun.
Judith Sarfati Lanter est ancienne élève de l’ENS, agrégée des Lettres modernes et docteur de l’Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3.
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