parution
Les rêves éveillés de Béziers ou Un patrimoine oublié
Auteur : Michel AROUIMI
Langue : fr
Nom de l'auteur responsable de la parution : Michel Arouimi
EAN13 : 9782378711542
Éditeur : Editions de la Fenestrelle
Année de publication : Editions de la Fenestrelle, Brignon, 2025
Site web de référence : https://www.editions-fenestrelle.com/
Les rêves éveillés de Béziers, ou Un patrimoine oublié. 118 pages (illustré).
On ne s’étonne pas que les noms de Racine, Lamartine, Hugo, Georges Sand, Musset, Rimbaud, aient été donnés à certaines rues d’une ville comme Béziers. De même que celui d’Abélard, mais encore celui de musiciens comme Saint Saëns, Boieldieu… L’aspect des rues ainsi nommées est sans rapport objectif avec ces désignations ; pourtant un regard attentif, certes rêveur, peut motiver des dernières : prétexte à une synthèse de l’univers que représente chacun de ces noms. La ville est elle-même centrée sur la ronde littéraire, formée par les bustes de grands poètes (très fameux ou régionaux) dans le jardin éponyme.
En nombre équivalent, les noms de grands hommes, donnés à d’autres rues, ont en commun avec ceux de ces artistes, la diversité des époques auxquelles ces grandes figures guerrières se sont illustrées. Un Chinois y verrait un signe du lien de l’art et de la guerre…
On connait d’ailleurs l’intérêt de certains chercheurs pour les images et les textes publicitaires ; ceux d’une époque révolue, dans les rues de Béziers, sont examinés dans cet ouvrage. Le mystère du langage s’accuse dans certains idiomes, qui nomment quelques rues ; non moins intéressants, les vestiges scripturaux d’anciennes boutiques, dès longtemps abandonnées. Leur histoire méconnue s’ajoute à celle de Béziers, qui est encore un témoin de l’histoire de France.
Telle qu’elle est arpentée dans cet ouvrage, la ville exprime ainsi le pouvoir du langage, réduit à quelques noms ou quelques mots, à conférer un sens imprévu aux aspects les plus anodins de l’architecture urbanistique.
On ne s’étonne pas que les noms de Racine, Lamartine, Hugo, Georges Sand, Musset, Rimbaud, aient été donnés à certaines rues d’une ville comme Béziers. De même que celui d’Abélard, mais encore celui de musiciens comme Saint Saëns, Boieldieu… L’aspect des rues ainsi nommées est sans rapport objectif avec ces désignations ; pourtant un regard attentif, certes rêveur, peut motiver des dernières : prétexte à une synthèse de l’univers que représente chacun de ces noms. La ville est elle-même centrée sur la ronde littéraire, formée par les bustes de grands poètes (très fameux ou régionaux) dans le jardin éponyme.
En nombre équivalent, les noms de grands hommes, donnés à d’autres rues, ont en commun avec ceux de ces artistes, la diversité des époques auxquelles ces grandes figures guerrières se sont illustrées. Un Chinois y verrait un signe du lien de l’art et de la guerre…
On connait d’ailleurs l’intérêt de certains chercheurs pour les images et les textes publicitaires ; ceux d’une époque révolue, dans les rues de Béziers, sont examinés dans cet ouvrage. Le mystère du langage s’accuse dans certains idiomes, qui nomment quelques rues ; non moins intéressants, les vestiges scripturaux d’anciennes boutiques, dès longtemps abandonnées. Leur histoire méconnue s’ajoute à celle de Béziers, qui est encore un témoin de l’histoire de France.
Telle qu’elle est arpentée dans cet ouvrage, la ville exprime ainsi le pouvoir du langage, réduit à quelques noms ou quelques mots, à conférer un sens imprévu aux aspects les plus anodins de l’architecture urbanistique.



