événement
Journée « Proust, d’autres possibles » : autour de l’ « Introduction à la méthode postextuelle » (F. Schuerewegen)
Journée d'étude
organisée par Karen Haddad (Université Paris Ouest / équipe "Littérature et Poétiques comparées")
et Vincent Ferré (Université Paris Est Créteil / équipe "Lettres, Idées, Savoirs")
On ne lit pas un texte, on le construit, c’est-à-dire qu'on l’invente. La critique postextuelle cherche à mieux décrire en quoi consiste ce travail d’invention, et quelles sont les règles auxquelles il doit obéir. Il s’agira, entre autres, d’en finir avec le mythe du « respect du texte », héritage encombrant que nous a laissé la critique « immanentiste ». La meilleure manière d’analyser et d’expliquer un texte est de s’en imaginer soi-même l’auteur. Et Proust? L'oeuvre proustienne est « non encore faite », donc, « oeuvre à faire » (Albert Thibaudet). Pour le critique postextuel, l’auteur de la Recherche est un interlocuteur privilégié.
Voir [l'annonce de parution->http://www.fabula.org/actualites/franc-schuerewegen-introduction-a-la-methode-postextuelle-l-exemple-proustien_50664.php] (avec le sommaire du livre) et [lire un extrait ->http://www.fabula.org/atelier.php?Critique_postextuelle] dans l'atelier de Fabula
10 h : Accueil, introduction par Karen Haddad & Vincent Ferré
10h 15 : "La méthode postextuelle en deux mots", Franc Schuerewegen
discussion
11h "Découper, assembler, enchaîner : quelques figures possibles pour bien former le texte qu'on lit", Christine Noille
14h : "Les ruses de la raison herméneutique", Florian Pennanech
15h : "Ce qu'on peut faire des textes", table ronde avec Franc Schuerewegen, Nathalie Mauriac Dyer, Christine Noille, Florian Pennanech, Karen Haddad, Vincent Ferré
Discussion générale
16h : fin de la journée d'étude
organisée par Karen Haddad (Université Paris Ouest / équipe "Littérature et Poétiques comparées")
et Vincent Ferré (Université Paris Est Créteil / équipe "Lettres, Idées, Savoirs")
On ne lit pas un texte, on le construit, c’est-à-dire qu'on l’invente. La critique postextuelle cherche à mieux décrire en quoi consiste ce travail d’invention, et quelles sont les règles auxquelles il doit obéir. Il s’agira, entre autres, d’en finir avec le mythe du « respect du texte », héritage encombrant que nous a laissé la critique « immanentiste ». La meilleure manière d’analyser et d’expliquer un texte est de s’en imaginer soi-même l’auteur. Et Proust? L'oeuvre proustienne est « non encore faite », donc, « oeuvre à faire » (Albert Thibaudet). Pour le critique postextuel, l’auteur de la Recherche est un interlocuteur privilégié.
Voir [l'annonce de parution->http://www.fabula.org/actualites/franc-schuerewegen-introduction-a-la-methode-postextuelle-l-exemple-proustien_50664.php] (avec le sommaire du livre) et [lire un extrait ->http://www.fabula.org/atelier.php?Critique_postextuelle] dans l'atelier de Fabula
10 h : Accueil, introduction par Karen Haddad & Vincent Ferré
10h 15 : "La méthode postextuelle en deux mots", Franc Schuerewegen
discussion
11h "Découper, assembler, enchaîner : quelques figures possibles pour bien former le texte qu'on lit", Christine Noille
14h : "Les ruses de la raison herméneutique", Florian Pennanech
15h : "Ce qu'on peut faire des textes", table ronde avec Franc Schuerewegen, Nathalie Mauriac Dyer, Christine Noille, Florian Pennanech, Karen Haddad, Vincent Ferré
Discussion générale
16h : fin de la journée d'étude