appel
Colloque Pluridisciplinaire International : De l’ivoironie : artistisation du civisme et symbiose des identités plurielles en Côte d’Ivoire
Date de publication : 09/11/2022
Date de l'échéance : 25/09/2022
Lieu de l'événement : Bouaké
Colloque Pluridisciplinaire International :
De l’ivoironie : artistisation du civisme et symbiose des identités plurielles en Côte d’Ivoire
9-10-11 novembre 2022, Université Alassane OUATTARA-Bouaké
L’ivoironie, ce serait difficile de l’occulter, s’intéresse à la question de l’identité nationale. C’est que, résolument, l’identité et le civisme s’interpénètrent. Le civisme est l’observation scrupuleuse des règles de la cité au nom d’une phase sacerdotale dite ‘’de culture’’, qui est celle du défi de la socialisation. Ici, l’axiome se décline, pour le citoyen, en l’idée d’être loyal et utile à la vie communautaire en lui étant le moins nuisible possible. La survie ou l’essor de la communauté en dépend. À juste titre, l’identité est la conscience des choses que les membres d’une communauté ont en commun, consubstantielle au sentiment du sort collectif, interchangeable au destin communément lié.
La Côte d’Ivoire, pays d’Afrique de l’Ouest, entretient un rapport sensible avec le postulat conceptuel établi. En d’autres termes, la Côte d’Ivoire, pays multisectoriel culturellement et à l’histoire contemporaine médiatique, se trouve être intéressée, inaliénablement, par les notions de civisme et d’identité. Son profil de terre d’accueil ou d’intégration, ses tumultes socio-politiques, sa souplesse culturelle, sa multiplicité ethnique, sa diversité religieuse, ses passions artistiques multiples, ses variés repères et normes de vécu étatique, achèveraient d’en convaincre.
Autant dire que la Côte d’Ivoire ne s’inscrit pas dans un fixisme enlisant quant aux paramètres d’existence nationale. Si la réalité décrite est un atout pour l’idéal social de l’Universalité, au nom de la dialectique sociale, de la relativité des choses, du vivre ensemble, de la fédération des différences, innervant l’intellectualisme, il y aurait, fût-ce artistiquement, à codifier ce grand ensemble. L’enjeu en étant d’éviter la dispersion psychique communautaire ou d’endiguer une éventuelle hétérogénéité inconsciente et insouciante; toute chose qui en entamerait à l’esprit de la conscience nationale qui, somme toute, paraît indispensable au développement.
L’Ivoironie, concept d’intérêt socio-philosophique national, se veut une codification artistique de la diversité ivoirienne sus-décrite, et sous le rapport du civisme, et sous le rapport de de l’identité. Son slogan « Au milieu de nos différences, soyons d’accord sur ce qui ne nous différencie pas », paraît, à l’enseigne d’un acte verbal de fiction, une littérature de codification de l’esprit ivoirien, au sens de la mise en convergence des multiples codes civiques, culturels, littéraires, urbains, culturels, identitaires, religieux, gastronomiques, régionaux, géographiques, naturels, ethniques, musicaux… En tout état de cause, ce qui développe une nation, ce ne sont pas les différences en elles-mêmes, mais, plutôt, l’acceptation des différences, à l’effet d’inscrire la poétique d’une vie communautaire, mentalement intégrée. Tant il est vrai que la conscience intégrant des différences est nocive à la cité, mais qu’en revanche, la propension à les accepter cohésivement et à les transcender, est producteur de développement, mieux, d’épanouissement durable.
Si tel est le cas, l’ivoironie, en tant qu’intégration du pacte consensuel national par tous les citoyens, est la valorisation opiniâtre du consensus. Ses divers modules, au nombre de huit, qui tiendront lieu d’axes, en témoignent amplement
Des contributions multidisciplinaires sont attendues sur chacun de ces modules. Il s’agit de valoriser tout corpus originaire de la Côte d’Ivoire (diversité écologique, symbolisme, littérature, musique, peinture, sport, vêtements, cuisine, langue, politique, traditions et cultures, discours, etc.) pour qu’à terme, se dessine une unité nationale, née de la promotion du pays en ses divers ordres consensuels. La science, activité méthodique ou processuelle de découverte de la vérité absolue et de la pratique de la vertu humaine, s’en offrirait le sacerdoce. IVOIRONIE.
BIBLIOGRAPHIE
BAILLY Séry, Le tohourou, un chemin vers la sagesse, Abidjan, Nvelles éditions Balafons, 2015.
DIAMA K'Monti Jessé, "Le nouchi ou la réécriture poético-culturelle du français. Une étude de cas", in LE NOUCHI : un parler urbain en diffraction (Approches transdisciplinaires), D. HOUESSOU et al. (dir), CIRL, décembre 2021, p. 21-34.
DIAMA K’Monti Jessé, « La parole poétique de Charles Nokan : esthétique d’une poésie vivante ». Thèse de doctorat unique, Université Alassane Ouattara de Bouaké (Côte d’Ivoire), 2013.
HANSEN-LOVE Laurence « Pleurer ensemble restaure-t-il le lien social ? Les commissions de vérité, « tribunaux des larmes » de l’après-conflit », dans NOLLEZ-GOLDBACH Raphaëlle et SAADA Julie (ed.), La justice pénale internationale face aux crimes de masse. Approches critiques, Paris, Pédone, 2014.
HEIDEGGER Martin, « La parole », dans Acheminement vers la parole, Paris, Gallimard, 1976.
HOUESSOU Dorgelès, Pour une approche conceptuelle du discours politique : contribution à la généricité du discours d’investiture. Cas de la Côte d’Ivoire de 2000 à 2011, thèse de doctorat unique soutenue le 03 décembre 2013, à l’Université Félix Houphouët Boigny d'Abidjan.
KADI Germain-Arsène, La révolte du zouglou de côte d'Ivoire, 30 ans de revendications (1991-2021), Collection : Classiques pour demain, Paris, L'Harmattan, 2021
KOUAKOU Jean-Marie, KOUASSI Germain (Dir.), Penser la réconciliation - Pour panser la Côte d'Ivoire, Paris, L'Harmattan, 2015.
KOUASSI Kpangui, Le Français en Côte d'Ivoire, Inventaire des particularités lexicales, Paris, L'Harmattan, 2021.
LACAN Jacques, Séminaire I, Paris, Le Seuil, 1975.
ROUSSO Henry, Face au passé : essais sur la mémoire contemporaine, Paris, Belin, 2016.
SENGHOR Léopold Sédar, Les fondements de l’africanité ou Négritude et arabité, Présence africaine, 1697.
TOH BI Emmanuel, Le Manifeste de l’Ivoironie, Abidjan, Les éditions Matrice, 2018.
MODALITÉS DE SOUMISSION
Les propositions de résumé en français, n’excédant pas 500 signes, devront indiquer l’axe de référence, les Nom, Prénoms, et l’adresse de l’auteur ainsi que l’institution de rattachement. Elles seront à envoyer simultanément aux adresses suivantes le 25 septembre au plus tard :
berthefaman@gmail.com ; sylviezohin@gmail.com ;
daichat2011@yahoo.fr ; tenedjennyeo@gmail.com ;
Les frais de participation s’élèvent à 30.000 CFA pour les enseignants-chercheurs, 20.000 CFA pour les travailleurs et 10.000 CFA pour les étudiants.
COMITÉ DE PILOTAGE
LOUCOU Jean-Noel, Professeur, Université Félix Houphouët-Boigny, Secrétaire Général de la Fondation Félix Houphouet Boigny
ASSI-KAUDJHIS Joseph, Professeur des universités, Directeur Général du CAMPC, Université Alassane Ouattara (RCI)
BAMBA Assouman, Professeur (Philosophie), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire) Doyen de l'UFR CMS
COORDINATRICES
Dr YIE Faman Berthe épse BANNY, ENS-ABIDJAN - Département de Lettres
Dr ZOHIN Sylvie Epouse GOHOU, UAO-BOUAKÉ - Département de Lettres
Dr DIABY Aïssata, UFHB-ABIDJAN - Département de Lettres
Dr YEO Tenedjoua, UPGC-KHOROGO - Département de Lettres
COMITÉ D’ORGANISATION
Membres de l’ONVDP et du CNRPC
COMITÉ SCIENTIFIQUE
ABOA Abia Alain, Professeur (Linguistique), Université Félix Houphouet B. (Côte d’Ivoire)
ADJASSOH Christian, MCF, (Poésie) Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
ASSI-KAUDJHIS Joseph, Professeur des universités, Directeur Général du CAMPC, Université Alassane Ouattara (RCI)
AZOUMANA Ouattara, Professeur (Philosophie) , Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
BAMBA Assouman, Professeur (Philosophie), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire) Doyen de l'UFR CMS
BLÉ Kain Arsène, MCF, (Roman) Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
COULIBALY Nanourougo, MCF (Analyse du discours), Université F.H.B. (Côte d’Ivoire)
DADIÉ Djah Célestin, Professeur (Poésie), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
GUÉBO Josué, MCF (Philosophie), Université Félix Houphouët-Boigny (Côte d’Ivoire)
KOBENAN Léon, MCF, (Roman) Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
KOFFI Ehouman René, MCF, (Grammaire et linguistique françaises), UAO (Côte d’Ivoire)
KONAN Kanga Arsène, MCF, (Roman) Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
KOUABENAN-KOSSONOU François, Professeur (Stylistique), Directeur du Département de Lettres Modernes, Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
KOUACOU Jacques Raymond, Professeur (Littérature Orale Africaine), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
KOUADIO N’guessan Jérémie, Professeur (Linguistique), Université Félix Houphouët-Boigny, Membre de l’ASCAD (Côte d’Ivoire)
LOUCOU Jean-Noel, Professeur, Université Félix Houphouët-Boigny
TOH BI Emmanuel, Professeur (Poésie africaine), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
SEKONGO Gossouhon, Maître de conférences, Université Alassane Ouattara de Bouaké (RCI)
De l’ivoironie : artistisation du civisme et symbiose des identités plurielles en Côte d’Ivoire
9-10-11 novembre 2022, Université Alassane OUATTARA-Bouaké
L’ivoironie, ce serait difficile de l’occulter, s’intéresse à la question de l’identité nationale. C’est que, résolument, l’identité et le civisme s’interpénètrent. Le civisme est l’observation scrupuleuse des règles de la cité au nom d’une phase sacerdotale dite ‘’de culture’’, qui est celle du défi de la socialisation. Ici, l’axiome se décline, pour le citoyen, en l’idée d’être loyal et utile à la vie communautaire en lui étant le moins nuisible possible. La survie ou l’essor de la communauté en dépend. À juste titre, l’identité est la conscience des choses que les membres d’une communauté ont en commun, consubstantielle au sentiment du sort collectif, interchangeable au destin communément lié.
La Côte d’Ivoire, pays d’Afrique de l’Ouest, entretient un rapport sensible avec le postulat conceptuel établi. En d’autres termes, la Côte d’Ivoire, pays multisectoriel culturellement et à l’histoire contemporaine médiatique, se trouve être intéressée, inaliénablement, par les notions de civisme et d’identité. Son profil de terre d’accueil ou d’intégration, ses tumultes socio-politiques, sa souplesse culturelle, sa multiplicité ethnique, sa diversité religieuse, ses passions artistiques multiples, ses variés repères et normes de vécu étatique, achèveraient d’en convaincre.
Autant dire que la Côte d’Ivoire ne s’inscrit pas dans un fixisme enlisant quant aux paramètres d’existence nationale. Si la réalité décrite est un atout pour l’idéal social de l’Universalité, au nom de la dialectique sociale, de la relativité des choses, du vivre ensemble, de la fédération des différences, innervant l’intellectualisme, il y aurait, fût-ce artistiquement, à codifier ce grand ensemble. L’enjeu en étant d’éviter la dispersion psychique communautaire ou d’endiguer une éventuelle hétérogénéité inconsciente et insouciante; toute chose qui en entamerait à l’esprit de la conscience nationale qui, somme toute, paraît indispensable au développement.
L’Ivoironie, concept d’intérêt socio-philosophique national, se veut une codification artistique de la diversité ivoirienne sus-décrite, et sous le rapport du civisme, et sous le rapport de de l’identité. Son slogan « Au milieu de nos différences, soyons d’accord sur ce qui ne nous différencie pas », paraît, à l’enseigne d’un acte verbal de fiction, une littérature de codification de l’esprit ivoirien, au sens de la mise en convergence des multiples codes civiques, culturels, littéraires, urbains, culturels, identitaires, religieux, gastronomiques, régionaux, géographiques, naturels, ethniques, musicaux… En tout état de cause, ce qui développe une nation, ce ne sont pas les différences en elles-mêmes, mais, plutôt, l’acceptation des différences, à l’effet d’inscrire la poétique d’une vie communautaire, mentalement intégrée. Tant il est vrai que la conscience intégrant des différences est nocive à la cité, mais qu’en revanche, la propension à les accepter cohésivement et à les transcender, est producteur de développement, mieux, d’épanouissement durable.
Si tel est le cas, l’ivoironie, en tant qu’intégration du pacte consensuel national par tous les citoyens, est la valorisation opiniâtre du consensus. Ses divers modules, au nombre de huit, qui tiendront lieu d’axes, en témoignent amplement
- Module I : Connaissance de la nature;Module II : Connaissance de l’Histoire;
- Module III : Considération idolâtre des symboles de l’Etat;
- Module IV : Vécu intense de l’art et de la culture;
- Module V : Passion jouissive des mets de Côte d’Ivoire;
- Module VI : Connaissance des symboles sportifs;
- Module VII : Initiation à l’univers des cultures vivrières et de rente;
- Module VIII : Élan touristique aux infrastructures.
Des contributions multidisciplinaires sont attendues sur chacun de ces modules. Il s’agit de valoriser tout corpus originaire de la Côte d’Ivoire (diversité écologique, symbolisme, littérature, musique, peinture, sport, vêtements, cuisine, langue, politique, traditions et cultures, discours, etc.) pour qu’à terme, se dessine une unité nationale, née de la promotion du pays en ses divers ordres consensuels. La science, activité méthodique ou processuelle de découverte de la vérité absolue et de la pratique de la vertu humaine, s’en offrirait le sacerdoce. IVOIRONIE.
BIBLIOGRAPHIE
BAILLY Séry, Le tohourou, un chemin vers la sagesse, Abidjan, Nvelles éditions Balafons, 2015.
DIAMA K'Monti Jessé, "Le nouchi ou la réécriture poético-culturelle du français. Une étude de cas", in LE NOUCHI : un parler urbain en diffraction (Approches transdisciplinaires), D. HOUESSOU et al. (dir), CIRL, décembre 2021, p. 21-34.
DIAMA K’Monti Jessé, « La parole poétique de Charles Nokan : esthétique d’une poésie vivante ». Thèse de doctorat unique, Université Alassane Ouattara de Bouaké (Côte d’Ivoire), 2013.
HANSEN-LOVE Laurence « Pleurer ensemble restaure-t-il le lien social ? Les commissions de vérité, « tribunaux des larmes » de l’après-conflit », dans NOLLEZ-GOLDBACH Raphaëlle et SAADA Julie (ed.), La justice pénale internationale face aux crimes de masse. Approches critiques, Paris, Pédone, 2014.
HEIDEGGER Martin, « La parole », dans Acheminement vers la parole, Paris, Gallimard, 1976.
HOUESSOU Dorgelès, Pour une approche conceptuelle du discours politique : contribution à la généricité du discours d’investiture. Cas de la Côte d’Ivoire de 2000 à 2011, thèse de doctorat unique soutenue le 03 décembre 2013, à l’Université Félix Houphouët Boigny d'Abidjan.
KADI Germain-Arsène, La révolte du zouglou de côte d'Ivoire, 30 ans de revendications (1991-2021), Collection : Classiques pour demain, Paris, L'Harmattan, 2021
KOUAKOU Jean-Marie, KOUASSI Germain (Dir.), Penser la réconciliation - Pour panser la Côte d'Ivoire, Paris, L'Harmattan, 2015.
KOUASSI Kpangui, Le Français en Côte d'Ivoire, Inventaire des particularités lexicales, Paris, L'Harmattan, 2021.
LACAN Jacques, Séminaire I, Paris, Le Seuil, 1975.
ROUSSO Henry, Face au passé : essais sur la mémoire contemporaine, Paris, Belin, 2016.
SENGHOR Léopold Sédar, Les fondements de l’africanité ou Négritude et arabité, Présence africaine, 1697.
TOH BI Emmanuel, Le Manifeste de l’Ivoironie, Abidjan, Les éditions Matrice, 2018.
MODALITÉS DE SOUMISSION
Les propositions de résumé en français, n’excédant pas 500 signes, devront indiquer l’axe de référence, les Nom, Prénoms, et l’adresse de l’auteur ainsi que l’institution de rattachement. Elles seront à envoyer simultanément aux adresses suivantes le 25 septembre au plus tard :
berthefaman@gmail.com ; sylviezohin@gmail.com ;
daichat2011@yahoo.fr ; tenedjennyeo@gmail.com ;
Les frais de participation s’élèvent à 30.000 CFA pour les enseignants-chercheurs, 20.000 CFA pour les travailleurs et 10.000 CFA pour les étudiants.
COMITÉ DE PILOTAGE
LOUCOU Jean-Noel, Professeur, Université Félix Houphouët-Boigny, Secrétaire Général de la Fondation Félix Houphouet Boigny
ASSI-KAUDJHIS Joseph, Professeur des universités, Directeur Général du CAMPC, Université Alassane Ouattara (RCI)
BAMBA Assouman, Professeur (Philosophie), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire) Doyen de l'UFR CMS
COORDINATRICES
Dr YIE Faman Berthe épse BANNY, ENS-ABIDJAN - Département de Lettres
Dr ZOHIN Sylvie Epouse GOHOU, UAO-BOUAKÉ - Département de Lettres
Dr DIABY Aïssata, UFHB-ABIDJAN - Département de Lettres
Dr YEO Tenedjoua, UPGC-KHOROGO - Département de Lettres
COMITÉ D’ORGANISATION
Membres de l’ONVDP et du CNRPC
COMITÉ SCIENTIFIQUE
ABOA Abia Alain, Professeur (Linguistique), Université Félix Houphouet B. (Côte d’Ivoire)
ADJASSOH Christian, MCF, (Poésie) Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
ASSI-KAUDJHIS Joseph, Professeur des universités, Directeur Général du CAMPC, Université Alassane Ouattara (RCI)
AZOUMANA Ouattara, Professeur (Philosophie) , Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
BAMBA Assouman, Professeur (Philosophie), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire) Doyen de l'UFR CMS
BLÉ Kain Arsène, MCF, (Roman) Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
COULIBALY Nanourougo, MCF (Analyse du discours), Université F.H.B. (Côte d’Ivoire)
DADIÉ Djah Célestin, Professeur (Poésie), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
GUÉBO Josué, MCF (Philosophie), Université Félix Houphouët-Boigny (Côte d’Ivoire)
KOBENAN Léon, MCF, (Roman) Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
KOFFI Ehouman René, MCF, (Grammaire et linguistique françaises), UAO (Côte d’Ivoire)
KONAN Kanga Arsène, MCF, (Roman) Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
KOUABENAN-KOSSONOU François, Professeur (Stylistique), Directeur du Département de Lettres Modernes, Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
KOUACOU Jacques Raymond, Professeur (Littérature Orale Africaine), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
KOUADIO N’guessan Jérémie, Professeur (Linguistique), Université Félix Houphouët-Boigny, Membre de l’ASCAD (Côte d’Ivoire)
LOUCOU Jean-Noel, Professeur, Université Félix Houphouët-Boigny
TOH BI Emmanuel, Professeur (Poésie africaine), Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire)
SEKONGO Gossouhon, Maître de conférences, Université Alassane Ouattara de Bouaké (RCI)
Source de l'information : Observatoire National de la Vie et du Discours Politiques (ONVDP)